Poisson d'avril suite

L'article précédent, poisson d'avril n'en était malheureusement pas un ! Nous aovns bien un acteur de cinéma, ou homme de théâtre en guise de président. Mais quel acteur ! 

On aurait besoin d'un visionnaire, de quelqu'un qui entreprend des réformes courageuses, quitte à ne pas être réélu. Au lieu de cela, nous avons quelqu'un qui ne se soucie que de son image, de sa réélection, et qui est prêt à faire de l'écologie pour attraper des voix, et stopper si il n'en a pas attrapé.

Sinon, pour la taxe carbone, en voulant faire dans la précipitation, ne pas en faire une vraie taxe, elle était devenue une mascarade, qui éxonérait tout les gros pollueurs, les activités économiques sensibles, l'électricité pour pouvoir continuer le tout nucléraire et vendre un maximum de réacteurs à nos amis (Lybiens, ....). Finalement, ne restait qu'une taxe sur le pétrôle, à 15 euros la tonne de C02.

OR, en France, on a déjà une TIPP sur les produits prétroliers qui représente environ 50 centimes par litre (calcu l grossier), soit 50 c pour 10 kWh (10 kWh par litre de pétrole), donc 50 c pour 3 kg de C02 (300 g par kWh de pétrole), donc 175 euros la tonne de C02.

Au lieu de s'agiter sur les heures supplémentaires, augmenter la dette de 200 milliards, augmenter le déficit du budget, faire 1000 réformettes incohérentes mais visibles, il y a une direction à adopter :

Baisser la fiscalité sur le travail et la transférer sur la consommation de matière première et la pollution. Evidemment, quand on pense à relancer la consommation, j'admet qu'il y a un paradoxe insoluble.Mais notre but est il de consommer plus, d'épuiser la terre plus vite ? ou bien de tous travailler et vivre ?

En tant que chef d'entreprise, je viens de payer les charges sociales, Et bien entre le net, et le coût total, on est presque du simple au double. 1.7. Alors mieux vaut acheter des machines, polluer que de faire travailler des personnes.Une simple TVA 1.196